Recadrage arrière plan

Japon : Sejour au pays du soleil levant

Tokyo part one : Lost in translation

17h lundi 30 septembre, dans l'aeroport de Narita airport on pressent deja que ca va etre complique. L'anglais des japonais est plus qu'approximatif pire que le notre c'est pour dire et on est encore dans l'aeroport, on apprehende d'en sortir.

Un petit coup d'oeil au reseau de train et puis ben il faut bien se lancer, ca va pas etre easy mais en meme temps c'est ce qu'on recherchait, donc on va pas se plaindre C'est tricher. Ca serait quand meme dommage de passer trois semaines a Narita et de toute facon il faut aller chercher l'agent 212 qui arrive a minuit a Haneda airport au Sud Est de Tokyo.







Dans le subway on est plonge dans l'ambiance de cette megalopole, trains bondes, travailleurs presses et toujours connectes. Seulement deux heures pour traverser la capitale, avec une erreur de station sur tout le parcours (on s'en sort pas si mal) et nous voila avec notre carton d'accueil au terminal international d'Haneda. C'est quand  meme etrange de venir chercher un ami francais a l'autre bout du monde.

On occupe un petit appartement typiquement tokyoite, avec optimisation maximum de l'espace, au Nord Ouest de la ville. Nous avons prevus de profiter de la partie Ouest, on reviendra au terme de notre voyage pour visiter l'Est.

Ce qui nous frappe d'entree c'est la tranquilite qui regne dans la capitale. La ville est organisee en quartiers et on peut aisement rejoindre les differents coeurs nevralgiques de Tokyo en empruntant des ruelles paisibles.





Ensuite vous n'avez plus qu'a vous laisser emporter par la maree humaine a Shibuya, sur les passages pietons prismatiques, pendant que vos yeux se perdent a admirer l'excentricite vestimentaire des belles japonaises et les innombrables ecrans qui inondent les facades des buildings.

Un bol de ramen dans un restaurant traditionnel puis vient le temps d'un repos bien merite dans un des nombreux parcs que compte la ville. Vous meditez dans le sanctuaire du parc Yoyogi et assistez silencieusement au ceremonial des moines. Vous appreciez le gout des japonais pour le jardin au Shinjuku Gyoen. Enfin vous finissez votre journee par une petite biere dans un bar ou les employes viennent decompresser apres le travail et que vous retrouvez a plat, ivres morts, dans les halls d'immeubles.








On est vraiment loin de l'occident et ca nous fait du bien. Modernite et respect de la tradition cohabitent dans une parfaite harmonie. Les japonais sont d'une politesse a toute epreuve meme face a trois paumes qui cherchent desesperement leur route.

Voila pour un apercu succint de la capitale, trois jours ca passe tres vite mais le plus dur avec Tokyo c'est encore de la quitter.


Pour rejoindre Kyoto on a prefere le bus au train (comme toujours). Le seul probleme c'est que la compagnie ne fait que de la reservation en ligne et que le site ne fonctionne pas. On decide alors de se rendre directement a l'agence afin de tester la rigueur bornee des japonais.

- "Connichua, you speak english ?"

- "A little bit."

- "We want to go to Kyoto with night bus. It's possible to make a reservation?"

- "Website."

- "But the website doesn't work."

- "Website."

- "Ok bon il comprend rien ! Try you'll see it's down."

- "Phone !"

- " But phone is busy. We can't call. Il comprend vraiment rien de rien. Aller c'est pas grave. Domo arigato gozaimas et sayonara."

Nous voila bien, on a une reservation a Kyoto mais on est toujours a Tokyo. On a une journee pour chercher un bus de nuit et ca s'avere etre aussi difficile que de trouver une poubelle. 180 minutes plus tard et autant de conversations steriles, on finit par rencontrer quelqu'un qui nous comprend et qui veut bien nous vendre des tickets.

Il est 23h, notre bus est a l'heure, rien d'etonnant ici, on s'est prevu une bouteille de whisky pour faciliter le trajet. Dewamata (A bientot a Kyoto).

Bisous de nous trois.


Kyoto : A la recherche de l'histoire cachée


Au premier abord Kyoto ne paye pas de mine surtout lorsque vous débarquez a 6 heures du mat, la tête dans le cul après une courte nuit de bus. Elle ressemble a toutes ces jeunes villes françaises construites dans les années 60 avec leurs immeubles en parpaing a l’architecture foireuse.

Vous vous demandez alors mais qu'est ce qu'ils sont venus foutre la? Avant de vous répondre  il nous faut trouver la maison de Kyoko qui nous héberge le temps de notre escale. Nous n'avons que quelques indications en japonais ça va être sport. Pour vous rassurer, le japonais n'est pas un surhomme, a 6 heures du matin il en chie aussi a ouvrir les yeux et est moins enclin a vous aider. Le problème, c'est que même ceux qui s'y collent, abandonnent rapidement face a la complexité de l'organisation des quartiers. Il faut savoir qu'il existe des rues sans nom et que les maisons ne portent pas des numéros par ordre croissant ou décroissant mais par date de construction. C'est un postier qui, aidé d'une carte tout de même, finira par nous aiguiller.


Elle nous attend sur le pas de la porte, le petit déjeuner sur la table, avant cela il ne faut pas oublier de se déchausser pour ne pas commettre d'impair. Kyoko est professeur d'anglais a domicile et accessoirement elle ouvre sa maison aux touristes, nous sommes ses premiers hôtes et on peut enfin discuter. Sa maison, un véritable havre de paix, sera un excellent pied a terre pour visiter la ville.


On en revient a votre question pertinente. Kyoto fut avant Tokyo la capitale du Japon entre 794 et 1868 et abrita le shogun la plus haute instance politique de l’époque (c'est pour faire simple, si vous vous voulez approfondir). Kyoto dissimule de nombreux temples, château et sanctuaires tous magnifiques et dont certains sont classes au patrimoine mondial de l'UNESCO.


Nous partons a la découverte de ces trésors caches et quoi de mieux que le vélo pour ça  En empruntant les voies on s'imagine comme les personnages des mangas de Miyazaki ou les acteurs des films de Kitano.







On ne nous avait pas menti, cette ville recèle un patrimoine si extraordinaire qu'il va être difficile dans faire le tour au cours de notre séjour  Alors nous ne perdons pas de temps, enfourchant nos bicyclettes, nous tentons d'en voir le plus possible: Le Toji temple, le Nishi Honganji temple, le Rioanji temple, le Daitokuji temple, le Kinkakuji temple et puis le Nijo castle pour changer (attention a l'interro surprise a notre retour).




Heureusement pour nous, Kyoto n'est pas simplement une ville chargée d'histoire, car on a fait une indigestion de temples et de shrines a les enchaîner comme des boulimiques. La ville encerclée par les montagnes et traversée par 2 rivières  offre des paysages magnifiques et des lieux de détente ou peuvent se rassembler les Kyotoites. Délaissant pour un temps nos vélos  nous flânons dans les jardins zen du Ginkaku-Ji et dans la bambouseraie d'Arashyiama, puis profitons de l'animation nocturne dans le quartier de Gion.











Kyoto est une ville vraiment agréable a vivre dans laquelle il fait bon se promener mais ce ce que l'on retiendra surtout de Kyoto c'est Kyoko et son chat Myata. Initialement nous ne devions passer que 4 jours au total on en aura passe 7 et c'est en partie a cause d'elle tant elle s'est comportée comme une mère spirituelle pour nous 3. Quel bonheur d'avoir pu partager avec toi le film "intouchables", une séance de yoga, et tous ces dîners finissant toujours par de profondes conversations.



A bientôt Kyoko, tu nous manques déjà, so so so....

Le conseil pratique : Attention aux vélos
Au japon la bicyclette est reine. Tout japonais en possède au moins une voire deux ou trois ne nous demandez pas pourquoi. Ici les cyclistes ont tous les droits même celui d'emprunter les trottoirs alors faites attention lorsque vous êtes piéton a ne pas vous en manger un. Ce conseil est moins important lorsque vous êtes automobiliste.

Mise au vert sur Shikoku

Il est toujours difficile d'admettre que les bonnes choses ont une fin, encore plus en voyage tant elles sont ephemeres, mais c'est aussi cela qui leur donne tant d'intensite.

Kyoko nous a aide a reserver un camping a Kazurabashi une petite bourgade sur l'ile de Shikoku au sud ouest de Kyoto.

A en croire la perplexite du gerant sur notre capacite a rejoindre son etablissement, on s'attend au pire au niveau des transports. Un train pour Osaka, puis un bus pour Awa Ikeda, et enfin un bus local pour Kazurabashi. Il n'y a pas a dire ils sont forts pour les transports les japonais, le seul reproche qu' on peut leur faire c'est que c'est un peu cher. Au final, le plus dur aura ete de trouver le camping de nuit et encore....

Kazurabashi est surtout connu pour son pont en lianes sur lequel viennent se presser les touristes exclusivement japonais qui profitent de leur week end de trois jours. Les japonais n'ont qu'une semaine de conges par an, on comprend mieux pourquoi leur voyage s'apparente souvent a un marathon.


De notre cote, nous profitons d'une magnifique arriere saison pour randonner au coeur des immenses forets de cedres. La campagne offre une autre vision du Japon, moins moderniste, plus paisible, loin du tumulte des grandes agglomerations.


Sans compter sur la gentillesse du gerant du camping nous n'aurions certainement rien mange le premier soir, malgre ses trois mots d'anglais, il compremd que nous n'avons rien prevu pour le repas (comme d'hab) et se propose de conduire l'un d'entre nous au supermarche le plus proche.


Le deuxieme soir, c'est grace a la generosite d'Uberto et Narumi, qui nous invitent a partager la convivialite d'un barbecue japonais, que nous dinerons. On doit vraiment faire pitie....








Le camping, situe au coeur de la vallee, offre une vue imprenable sur les montagnes et la riviere mais pas le couchage qui se resume a un simple tatami. 


Souhaitant nous accorder un repos qu'on estime bien merite, nous laissons partir l'agent 212 a la conquete du mont Tsurugi en compagnie de nos deux nouveaux amis.

Le boeuf de Kobe a... Kobe

Avant de revenir finir notre sejour a Tokyo, nous avons decide de faire une petite halte culinaire sur le parcours. Tout ce qui nous connaissent, savent a quel point nous sommes fascines par la cuisine japonaise. Combien de fois nous vous avons bassines avec le boeuf Wagyu, nourrit a la biere, masse au sake et ecoutant de la musique classique pour se relaxer.

Il etait inconcevable pour nous d'etre dans le pays d'origine du mythe sans en gouter un morceau et quel meilleur endroit pour manger du boeuf de Kobe que... Kobe.

D'abord il faut rectifier quelques idees recues. Boeuf Wagyu est un terme generique pour designer tous les boeufs japonais dont celui de Kobe, de plus c'est l'alimentation de l'animal composee d'un melange special de cerales qui donne son gout si particulier a la viande et non le sake, la chopine, ou encore Chopin.

Mais bon ! Tout ca nous on s'en fout, on veut s'en rendre compte par nous meme. Sur l'avis du Lonely Planet, nous nous presentons, vetus de nos fripes et nos sacs sur le dos, a la reception  du Wakkoqu, la meilleure adresse de la ville.

On n'est pas tres raccord avec le style guinde de l'etablissement. Le personnel se demande si on ne s'est pas trompe d'endroit ou si on cherche juste a utiliser leurs toilettes.

Une fois depasses leurs prejuges, les serveuses nous installent au comptoir derriere lequel se tient le grand chef. A lire la carte, on espere que boeuf ne sera pas aussi sale que l'addition qui nous attend. Sans trop reflechir, nous choisissons le plus cher, le steack de 250 gr de sirloin (aloyau). En contrepartie, nous renoncons a l'alcool et vous savez a quel point c'est un sacrifice pour nous.

Apres une petite mise en bouche, la serveuse nous presente, disposes sur un plateau de bois, les fameux morceaux. On ne nous avait pas menti, la repartition entre le gras et la chair est parfaite. Le probleme, c'est qu'a les voir la, on commence serieusement a avoir les crocs.



- He Chef !? Tu vas nous les cuire ces steacks??

Helas pas encore, la preparation du boeuf de Kobe c'est tout un rituel. Devant nos yeux, sur la plancha, il commence par saisir la viande. L'odeur qui s'en degage annonce le meilleur. Ensuite, avec precision et dexterite, il decoupe les steacks en differents morceaux dont certains sont reserves pour la suite du festin.

Ca y est enfin ! Il depose delicatement quelques bouchees dans nos assiettes. Febrilement, comme face a une chose rare et precieuse, nous saisissons a l'aide de nos baguettes, un bout de notre reve. Lorsque la viande vient fondre sous nos dents, la reaction est instantanee, une explosion de saveurs emplit notre bouche.




C'est le moment d'echanger nos impressions en langage gastronomique:

- "Putain ca dechire!!!"

- "Ouais c'est mortel trop de la balle"

- "Ouahh le Kiffe de sa mere qui tue!!"

Le grand chef constate que nous apprecions et vu notre raffinement il nous demande si nous sommes francais.

A l'unanimite nous admettons n'avoir jamais rien mange de tel auparavant. A notre connaissance, il n'existe pas une viande plus fine et savoureuse que le boeuf de Kobe, d'ailleurs on ne dirait pas du boeuf.


Le repas se poursuit lentement pour notre plus grand bonheur. A chaque morceau est associe un legume (soja, carotte, courgette, patate douce...) ou encore du tofu. Nous ecoutons attentivement les conseils du chef pour profiter au mieux du repas, tout est divin meme le gras.

A vivre des experiences culinaires comme celle ci, on comprend pourquoi la cuisine a ete elevee au rang d'art.

Sur ce on vous laisse, il faut aller payer l'addition, triste retour a la realite.

Tokyo part two: Un typhon, pas mal de loose et des sumos

Des notre retour a Tokyo, nous sommes accueillis par un typhon. Ils sont sympa ces japonais, ils nous font meme gouter a l'exotisme de leur climat. Heureusement qu'on leur a dit qu'on avait vecu un tremblement de terre au Chili sinon ils nous en auraient commande un.

Du coup, on passe la journee a s'impregner de la culture televisuelle locale. Ils sont vraiment timbres!! Ils vivent dans un monde de bisounours peuple d'ecolieres en minijupes qui chantent faux. Enfin, on tombe sur une emission proposant des cours de francais, lecon du jour : Comment prendre le train en France. EXTRAIT.

- "En France, il est obligatoire de composter son billet avant de prendre le train... Consultez le panneau d'informations sur les horaires car il arrive frequemment que des trains soient en retard ou annules en raison de mouvements de greve. Retenez bien le mot GREVE."

C'est veridique, meme les japonais savent qu'on est des branleurs.

Une fois le calme revenu (on en a marre de vivre des choses exceptionnelles), dix ans qu'ils n'avaient pas eu un typhon si puissant, on part faire nos touristes au mont Fuji a trois heures de Tokyo.

Voir le Fuji en vrai, c'est quand meme la classe mais plus notre bus s'en rapproche plus on se dit qu'on aurait mieux fait de rester a la maison. Le temps est bouche, il fait froid et il n'y a strictement rien a foutre a Kawagushiko. Les mignons, partis un peu plus tot auront eu plus de chance que nous. Ils sont forts! (voir page mission)

Comme vous ne pouvez pas le voir, ceci est le mont Fuji


Ne souhaitant pas rester sur un echec, on decide d'aller visiter des le lendemain matin le marche aux poissons de Tokyo, le plus grand du monde. On se pointe a six heures tout pimpant pour profiter du poisson frais mais on a comme l'impression de gener. Il faut dire qu'on est sur un lieu de travail et les mecs ils sont pas la pour faire du tourisme. On essaie neanmoins de se frayer un passage au milieu du bordel lorsqu'un agent de securite nous repere. Il nous somme de quitter le marche, car il n'ouvre aux visiteurs qu'a neuf heures et il nous conseille gentillement d'aller manger quelques sushis pour patienter. On s'execute avec le sentiment amere de s'etre encore leves pour rien.







Face a notre bol de sashimi, on tente de se remotiver pour notre derniere mission du jour : assister a un entrainement de sumos. Une petite marche plus tard, on se presente a l'entree de la salle. Il n'y a personne mais on peut entendre les corps qui s'entrechoquent. On n'est pas tres rassure, on ne voudrait pas deranger surtout qu'a nous trois reunis on ne fait meme pas la cuisse d'un des bebes. Enfin, l'un d'entre eux vient vers nous et sans un mot nous conduit a la salle.


On est aux premieres loges, a un metre seulement, on pourrait les toucher si on le voulait... L'entrainement se deroule dans le serieux et le silence, on n'ose a peine sortir nos appareils de peur qu'ils nous attrapent et nous brisent en quatre mais bon on a une mission a accomplir.

Les sumos sont consideres comme des demi-dieux au Japon et c'est pour nous un privilege de pouvoir partager deux heures de leur quotidien.


Il est temps pour nous de rejoindre l'Indonesie, nous abandonnons l'agent 212 qui est parti faire son rapport en France. Dewamata Friloux San!



















Le conseil pratique : Le Toto caca.
Les japonais ne font rien comme les autres, meme les chiottes, et on ne pouvait pas quitter le Japon sans vous en dire un mot. Le Toto toilet c'est un peu la Rolls Royce des WC avec un equipement toutes options. Il n'est pas necessaire d'avoir un master pour s'en servir, il suffit simplement d'appuyer sur tous les boutons. Attention toutefois a bien regler la pression et pour ces messieurs a ne pas utiliser la commande speciale princesse...




Conclusion : Le pays du soleil levant


A mi parcours, le Japon restera comme l'etape la plus marquante de notre tour du monde. Cependant malgre son cote fascinant, ce n'est pas le pays dans lequel nous souhaiterions nous installer. Tout y est different, trop different, a commencer par le langage, l'ecriture, la culture ou encore le mode de vie.



De ce qu'on en a vu, il est difficile d'envier la condition d'un japonais qui semble use par le travail, passant son temps libre dans les bars et les loisirs virtuels. Ils ressemblent a des fourmis ouvrieres tres bien organisees, se mettant a la file pour attendre le bus mais cachent une frustration de desirs inassouvis parfois malsains. Il suffit pour comprendre de voir le nombre de pornos avec des jeunes filles qui remplissent les gondoles des superettes.

Ce qui nous a choque aussi, c'est leur volonte de maitriser la nature, voire de la maltraiter. Ce qui l'illustre le mieux, ce sont surement les jardins japonais. Les plantes sont torturees dans un souci d'esthetisme comme si ils voulaient se venger d'une nature qui ne les epargne pas ou alors est ce l'inverse ?




11 commentaires:

  1. Suite a un incident technique (gros plantage et fausse manip...) la page a ete entierement recreee. Bon on a bien les boules d'autant plus qu'on a perdu tout vos commentaires. Sur ce on va rejoindre l'aeroport pour ne pas louper l'avion pour l'Indonesie.

    Bisous tout le monde

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  2. Quelle expérience Japonaise! ça donne vraiment envie. J'ai salivé devant le bœuf de Kobé... Patou t'es trop mimi avec ton bavoir ;o)

    Chris on t'attends pour un apéro pour que tu nous racontes tout...

    Bonne continuation à vous deux! Gros Bisous!

    Caro.

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  3. vous ne vous étalez pas sur le whisky !! vous avez goûté quoi ?

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  4. Lire votre article à 11h40 quand on crève la dalle => MAUVAISE IDÉE!

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  5. J'ai adore votre blog comme d'habitude. Il semble que vous avez eu une experience inoubliable au Japon.
    Les mignons ont eu du chance e'avoir une bonne vu de Mt. Fuji--et avec un cerisier en fleur en plus--chouette!
    Il y avait beaucoup de pieces que me fait rire et Doug... mais notre prefere etait la lecon de francais sur le mot "greve." :-D Nous avons appris ce mot a Grenoble au debut de notre etude de francais aussi...
    Je suis impatient de la prochaine... gross bisous!

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  6. Merci pour la carte postale du Japon! Le frigo commence a être bien rempli...
    D'ailleurs Fabien c'est beaucoup plus esthétique une collection de carte postale que de magnets le père Dodu...

    Bisous!

    Caro.

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  7. Yay! J'ai recu votre carte postale du Japon! Merci beaucoup. L'image et le timbre sont beaux, et le texte est sympa.

    J'ai maintenant une theorie sur la premiere carte... Je pense que vous avez ecrit "106 Crestview" et c'est 104. (C'est ma faute, evidement j'ai mal ecrit mon addresse pour vous.) Maintentant, je veux savoir pourquoi mon voisin de 106 Crestview Lane n'a pas retourne la premiere carte a moi?...Hmm. Un mystere. En toute facon, merci!

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    1. C est surtout parce qu on avait mis un billet de 1 dollars avec la premiere carte et c est surement pour ca qu elle n est pas arrivee. Tu te souviens du pari a propos de Bob Dylan et Elton John.....Candle in the wind

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    2. Attendez, avez-vous vraiment envoyer un billet d'un dollar?! :-D (Un lecon pour vous: ne jamais faire un pari avec moi au sujet de Bob Dylan...) Alors vous pensez que mon voisin a garde l'argent?! Quel cretin!

      Donc vous me devez un dollar. Vous pouvez m'acheter un verre (pour un dollar, hmm, ca sera difficile) quand je viens a Bordeaux...

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  8. Ahhh ça y est vous l'avez goûté .... ce fameux bœuf de Kobé!!! J'ai salivé devant mon PC rien qu'à vous lire.... Vous avez l'air de toujours en profitez, bonne continuation. On a prévu un p'tit apero/dîner avec Chris pour qu'il nous raconte tout ça :-)) Je vous embrasse à très vite.

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  9. Salut les amis de Miami ! ça fait un moment que j'étais pas venu sur votre blog, vous avez sacrément avancé entre temps ! Vous me rappelez tellement de bons souvenirs avec vos photos de Tokyo ! Tout à l'air de bien se passer et j'espère que ça continuera comme ça!
    De mon côté, je déménage à New-York pour un an dès avril donc si l'envie vous prend de finir votre voyage là où vous avez commencé, je serais contente de vous recevoir quelques jours :)

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